7 h 50. J’observe obstinément les aiguilles sous l’écran de verre comme à l’hôpital. L’heure des comprimés. Tout se revoile lentement. Mais il est déjà tard ici. Ce sont gens du Nord, ajustés au rythme d’un soleil frais, même peu accueillant l’été. Matinaux à l’excès. Impossible de s'y habituer.